Personnalités


Miretur adfatim commeatus labores deverti adfatim repente si ductante exsudatos adfatim post adfatim fiducia ductante.

 
 
 


Jean-Claude Mouyon

Jean-Claude Mouyon

Roman Vrac. Trilogie (192 pages)
Il faut les voir ces perdus de l’existence, Tai Be, l’Archi, LR, Caca Citron, le narrateur et tant d’autres… les voir pour croire en leur destinée au fin fond de nulle-part-sur-rien dans le sud squelettique de Madagascar. En prise directe avec le quotidien de leurs amis autochtones et la réalité abrupte d’un pays à la fois magique et désespérant.?Une relation passionnelle.?Ces trois courts romans réunis sous le titre générique de Roman vrac, drôles, mordants, tragiques, reflètent les affres mais aussi les joies que connaissent les étrangers du monde entier. Et comme dit l'autre, si on n'est pas entrés dans l'histoire on reste becs et ongles bien ancrés dans la vie. Et qu'on se marre!
 
Disponible dans les principales librairies d'Antananarivo et de Toliara (environ 25.000 Ariary) et chez Lulu.com (204 pages, 16,11 € + port).
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Beko ou La nuit du Grand homme (112 pages)

Auteur de pièces de théâtre et radiophoniques, Jean-Claude Mouyon a été journaliste et se consacre dorénavant à l’écriture dans le sud-ouest de Madagascar où il a posé son sac depuis une quinzaine d’années. Infatigable observateur  de la réalité du Sud profond où il vit ; il est l’auteur de trois romans qui plongent le lecteur dans le quotidien des petites gens ; dans des tranches de vie à la fois tragiques et drôles.

Pratiqué dans les régions Sud de Madagascar, le beko est un chant polyphonique a capella généralement interprété par un groupe d’hommes, nommés sahiry, composé d’un récitant et de choristes.
Perpétué depuis la nuit des temps par les ethnies du Grand Sud, le beko fait résonner sa litanie répétitive et gutturale durant les nuits où amis et famille du défunt sont réunis devant des feux et des bassines de rhum pour accompagner l’esprit du mort dans sa marche vers l’Est, là où vivent les ancêtres.
Beko, le roman, n’est en rien une explication ethnologique du culte des ancêtres mais l’appropriation d’un fait social et culturel qui m’a permis de bâtir une fiction à partir de la structure rythmique et narrative d’une cérémonie revisitée en présence de ses acteurs : Grand Homme, le défunt ; les sahiry ; les vivants.
Sur le thème d’une histoire policière inspirée d’un fait divers réel, Beko ou La nuit du Grand Homme se veut aussi un chant, une musique à la fois tendre et violente dédiée à l’extrême Sud de Madagascar et aux hommes libres qui y vivent, ceux qui souffrent mais ne pleurent jamais.
J.C.M.

 
Disponible dans les principales librairies d'Antananarivo et de Toliara (environ 20.000 Ariary)